Le pari mutuel qui est en vigueur en France s’oppose au bookmaking (en vigueur au Royaume-Uni par exemple).
Le pari mutuel consiste à mutualiser l’ensemble des enjeux misés par les parieurs en une masse commune.
Au PMU, cette masse commune est répartie de la manière suivante :
- 70% aux parieurs, redistribuée aux gagnants au prorata de leurs mises
- 7% à l’opérateur hippique (PMU, Zeturf, Betclic…)
- 6% aux sociétés de courses. Elles organisent les courses, contrôlent le dopage et attribuent les prix pour chaque course.
- 17% à l’Etat